raie du Tocantins

Nom scientifique Potamotrygon henlei
Descripteur Castelnau
Année description 1855
Statut IUCN (Monde) LC
Famille Potamotrygonidae
Genre Potamotrygon
Potamotrygon henlei Potamotrygon henlei

Introduction

Potamotrygon henlei, plus communément appelé Raie du Tocantins, est un poisson tropical originaire d'Amérique du Sud.

Qui est-elle ?

Le genre Potamotrygon

En 2023, la familia de los Potamotrygonidae está compuesta por dos subfamilias: Styracurinae y Potamotrygoninae. La subfamilia Potamotrygoninae incluye rayas neotropicales que han evolucionado en un entorno exclusivamente de agua dulce. Actualmente, se reconocen cuatro géneros como válidos dentro de esta subfamilia: Potamotrygon, Paratrygon, Plesiotrygon y Heliotrygon. Al igual que sus congéneres, los Potamotrygon son peces cartilaginosos. Su cuerpo se encuentra fuertemente comprimido dorsoventralmente. Las branquias se encuentran ubicadas en la cara ventral. Poseen dos aberturas (espiráculos) detrás de los ojos y una espina venenosa en la parte superior del pedúnculo caudal.

Las primeras Potamotrygon fueron registradas en géneros marinos Pastinaca, Trygon y Taeniura, de la familia Trygonidae, que posteriormente se convirtió en Dasyatididae. La subdivisión de los Trygonidae en Potamotrygones y Thalassotrygones fue el primer intento de separar a los potamotrygonidae de sus parientes marinos cercanos. Desde la revisión de Garman en 1913, se ha realizado un escaso trabajo taxonómico en la familia, exceptuando la descripción de nuevas especies.

Los Potamotrygon son peces ovovivíparos. Por lo general, residen camuflados en el fondo, donde cazan moluscos, crustáceos, insectos y peces. La mayoría de ellos parece tener una actividad nocturna. Estos peces frecuentan diversos hábitats en entornos de agua dulce, incluyendo playas de arena, bosques inundados, pequeños arroyos con fondo fangoso y lagos. En la mayoría de sus hábitats, estas rayas se encuentran en la cima de la cadena alimentaria.

Difíciles de percibir, estas rayas venenosas son temidas y particularmente peligrosas. Desde los primeros exploradores de los ríos de América del Sur, se tiene constancia de los distintos síntomas después de las picaduras causadas por Potamotrygon. Las lesiones suelen ocurrir en la pierna, el tobillo o el pie de la víctima. El dolor es extremo y puede ir acompañado de espasmos o calambres. Otros síntomas pueden incluir una disminución de la presión arterial, arritmia, hipertermia, sudoración, parálisis, vómitos, diarrea y pérdida del apetito.

Después de una picadura, el dolor puede persistir hasta diez días. La muerte de la víctima es rara y generalmente se debe a la perforación de órganos vitales o a una gangrena secundaria, y no a la acción directa del veneno. La recuperación es lenta, llevando aproximadamente un mes, dejando a veces una cicatriz.

Los indígenas americanos del sur probablemente fueron los primeros seres humanos afectados por estas rayas de agua dulce. Los primeros relatos escritos sobre estos peces por misioneros y exploradores tempranos revelaron que varias tribus indígenas tenían nombres para las rayas en su vocabulario y que llamaban a algunos ríos "río de las rayas" debido a su abundancia.

Los indios usaban las rayas de agua dulce como alimento y usaban las espinas caudales como puntas de flechas, como ornamentos o como instrumentos para realizar tatuajes o perforaciones (piernas, brazos, orejas y lengua). Las rayas aún son pescadas y sus espinas se utilizan como puntas de flechas por los indígenas de la Amazonía y el centro de Brasil.

Los Potamotrygonidae presentan algunas características similares a las de los elasmobranquios marinos, como una baja fecundidad, maduración tardía y un crecimiento lento.

Morphologie

  • Type
  • Taille moyenne
    40 cm
  • Taille maximale
    70 cm
  • Longévité
    12 ans
  • Forme
    Circulaire
  • Type
  • Taille moyenne
    40 cm
  • Taille maximale
    70 cm
  • Longévité
    12 ans
  • Forme
    Circulaire

Comment reconnaître la raie du Tocantins ?

Potamotrygon henlei se distingue de Potamotrygon leopoldi par une taille légèrement inférieure, une coloration plus grise chez les juvéniles, et des taches jaunâtres. Les individus henlei voient leur coloration "noire à points blancs" déborder sur la face inférieure, sur le pourtour du disque, tandis que chez P. leopoldi, la face inférieure est exempte de coloration.

Cette notion est cependant relative, les deux espèces s'hybridant très bien, générant même dans la nature des individus intermédiaires.

Différences entre mâles et femelles

Le mâle est doté d'une paire d'organes reproducteurs appelés pterygopodes. Ils résultent de la mutation des nageoires pelviennes en deux tubes mobiles qui permettent la fécondation interne. Ce dimorphisme est visible dès la naissance des juvéniles. 

Les deux sexes sont équipés d'un ou plusieurs dards sur le dernier tiers de la caudale. Le dard le plus ancien tombe tous les 4 à 5 mois, poussé par le nouveau qui le remplacera, au fur et à mesure de la croissance de l'animal. 

La femelles est dépourvue des pterygopodes, mais également beaucoup plus grande que le mâle.  Une femelle peut facilement atteindre 70 cm de disque. Un mâle atteindra environ 50 cm maximum.

 

Mode de vie & Comportement

  • régime
    carnivore
  • Sociabilité
    solitaire
  • territorialité
    Non
  • Rythme biologique
    Diurne

La raie henlei est un poisson qui vit en colonie élargie, avec des individus se côtoyant, mais qui ont besoin d'espace individuel. Elle réside naturellement sur le fond, mais nage très bien entre deux eaux.

Il n'est pas rare de trouver au matin des traces de son stationnement nocturne sur les bancs de sable. Chaque individu laissant une dépression circulaire dans le sable.

C'est un poisson qui vit principalement la nuit, quittant sa cachette une fois la pénombre arrivée.

D'un tempérament plutôt calme, cette espèce se fond régulièrement dans le décor, à l'affût d'éventuelles proies. Pour ce faire, elle se couvre de sable et reste de longs moments immobiles.

Attention cependant, les raies "noires à points blancs" des affluents sud de l'Amazone sont considérées comme robustes et faciles, mais également parmi les plus vives du genre.

Reproduction

La Raie du Tocantins est un poisson ovipare interne.

Risques pour l'Homme

  • Venimeux
    Oui

Cette espèce est venimeuse et peut causer de graves accidents au toucher.

Que Faire en cas de piqûre ?

En cas de piqûre, il convient de respecter les règles suivantes, dans cet ordre :

  • Isoler la victime du danger et la sortir rapidement de l'eau
  • Prévenir les secours
  • Allonger le sujet en position demi-assise et lui éviter tout effort
  • Immobiliser le membre touché
  • Nettoyer la plaie
  • Le venin de cette espèce étant thermolabile, il peut être neutralisé s’il est soumis à une température d’environ 45 °C. Il est donc possible de chauffer la plaie. Cette technique populaire est à pratiquer avec beaucoup de précautions pour ne pas aggraver la plaie en la brûlant. Il est conseillé de plonger le membre touché dans de l'eau chaude.
  • Si la piqûre est trop profonde, chauffer la plaie sera moins efficace.

Parfois la piqûre peut provoquer un malaise, voire une perte de connaissance chez la victime. Les piqûres sont généralement très douloureuses.

D'où vient-elle ?

État de conservation des populations (IUCN)

Monde : LC

Quel est son habitat ?

Caractéristiques du milieu naturel

  • Température
    23 - 28 °C
  • pH (acidité)
    5.8 - 7.2
  • gh (dureté)
    2 - 10
  • Courant
    Modéré et Lent

Présentation du biotope

La raie henlei réside naturellement dans le lit principal des fleuves à eaux claires, affluents sud de l'Amazone, particulièrement le Tocantins. Ces fleuves ont de très grandes amplitudes saisonnières non seulement de niveau, mais également de paramètres physico-chimiques, auxquels les raies s'adaptent parfaitement.

Il est erroné de limiter son habitat à un seul biotope, sachant que la raie se déplace entre son mode diurne ou son mode nocturne, et n'occupe pas les mêmes secteurs du fleuve. 

Espèces du même biotope

Maintenance en aquarium

Déontologie

Afin de préserver la vie sauvage, si vous faîtes l'acquisition de cet animal, il ne doit pas être relâché en milieu naturel. Voir aussi, la charte Fishipedia.

Fishipédia soutient la pratique d'une aquariophilie responsable et respectueuse de l'environnement. Nous encourageons la maintenance si celle-ci est motivée par le désir de comprendre le fonctionnement biologique du vivant et si elle est réalisée dans le respect de la vie animale.

Nous pensons que l'aquariophilie est une ouverture à la découverte des milieux aquatiques, en particulier d'eau douce, et que cette connaissance est nécessaire pour mieux protéger et respecter ces environnements. Logiquement, nous réfutons l'achat compulsif d'animaux qui ne trouveraient pas une place suffisante et / ou adaptée dans l'aquarium hôte.

Recommandations générales

  • Volume min
    3000 litres
  • Population min
    1
  • Température
    23 - 28 °C
  • pH (acidité)
    5.8 - 7.2

Caractéristiques

  • Difficulté d'élevage
    modéré
  • Robustesse
    tolérant
  • Comportement
    pacifique

Rappels généraux

Il est fortement conseillé de lire la fiche complète dédiée et de se renseigner sur les retours d'expériences de maintenance de l'animal envisagé, ceci afin d'éviter tout conflit potentiel dont la finalité est généralement la mort de l'individu (ou des autres habitants). Il est important de ne pas surcharger son aquarium pour limiter la pollution. La maintenance en sera facilitée.

En eau douce, à l'état sauvage, les animaux sont soumis aux conditions météorologiques et vivent dans des eaux dont les caractéristiques sont souvent variables. Les conseils donnés par notre équipe pour la maintenance en aquarium sont des estimations et ne peuvent être assimilés à des données scientifiques. Les spécimens sauvages sont plus difficiles à élever que ceux issus de l'élevage. Certains traits de caractère peuvent également avoir évolué.

Attention, cette espèce étant potentiellement dangereuse pour l'homme, elle nécessite pour sa maintenance l'obtention d'un « certificat de capacité d'élevage ». Pour les professionnels, il est nécessaire d'avoir un « certificat de présentation au public ».

Conseils de maintenance et entretien de l'aquarium

Le démarrage d'un aquarium est une partie primordiale pour l'équilibre et le bien-être des poissons. Lorsque l'on met en eau un aquarium, l'eau passe naturellement par un cycle biologique : le cycle de l'azote. Celui-ci dure environ trois semaines. Tous les 2 jours, nous vous conseillons de tester votre eau jusqu'à ce que le taux de nitrite soit à zéro pendant plusieurs jours d'affilée.

Pour accélérer ce cycle, vous pouvez utiliser un activateur de bactéries comme JBL Denitrol. Cette solution riche en bactéries vivantes et enzymes permet une mise en place rapide du cycle de l'azote. Les poissons peuvent alors être introduits plus rapidement.

Il est important de tester l'eau de son aquarium régulièrement pour maintenir un environnement sain pour les poissons et les autres habitants. Les tests d'eau permettent de mesurer les niveaux de différents paramètres tels que le pH, la dureté totale, ainsi que les taux de nitrates, de nitrites et d'ammoniaque.

Pour réaliser ces tests, vous pouvez utiliser des produits d'analyse spécialisés tels que JBL ProScan qui permet de réaliser un diagnostic de l'eau directement via un smartphone. Il existe également des coffrets de tests plus classiques de bandelettes, comme JBL PROAQUATEST.

En cas d’usage de l’eau du robinet, vous pouvez utiliser un conditionneur d’eau de type Biotopol de JBL pour éliminer les substances nocives comme le chlore, le cuivre, le plomb et le zinc. Les conditionneurs d'eau garantissent une meilleure santé aux poissons et une meilleure croissance des plantes.

Le chlore et la chloramine sont dangereux pour la santé des animaux. Utilisés pour désinfecter l'eau, ces agents sont présents en quantité non négligeable dans l'eau du robinet. Nous conseillons d'utiliser un anti-chlore lors de chaque changement d'eau. Outre le chlore, des traitements et médicaments vendus pour l'aquariophilie contiennent parfois des métaux lourds dangereux à forte dose.

Informations spécifiques pour la raie du Tocantins

La raie du Tocantins est une espèce qui vit naturellement à une température comprise entre 23 °C et 28 °C. Pour une bonne maintenance, la température ne devrait jamais dépasser les 31°C sur de longues périodes. La teneur en nitrates devrait rester inférieure à 50mg/L. Pour garder une eau propre et non polluée, prévoyez un renouvellement mensuel de 20% à 30% du volume d'eau.

L'élevage de cette espèce est accessible à condition de bien se renseigner sur ses besoins en aquarium. Les éventuels cohabitants doivent être choisis avec soin pour éviter la perte d'animaux.

Cohabitation & Environnement

Avant de se lancer dans l'élevage de cette raie, il est impératif de savoir qu'elle est considérée comme "animal dangereux" en France. Elle nécessite une autorisation particulière. De plus, l'acquisition d'individus sauvages est contrôlée. L'état de sa population la rend de plus en plus vulnérable dans la nature et il est impératif de bien se renseigner avant d'envisager son élevage.

Dans un contexte d'aquarium communautaire, il convient de le maintenir dans un volume minimum de 3000 litres. Plus que le volume, c'est d'ailleurs la surface au sol qui est capitale. Un aquarium d'au moins 3 mètres de façade par au moins 1,5 mètre de profondeur est réellement un minimum pour maintenir une paire d'adultes. La raie du Tocantins ne se soucie guère de ses colocataires.

C'est un poisson paisible qui ne présente pas de problèmes de comportement dans un aquarium communautaire. Bien que ce poisson soit plutôt paisible, il est susceptible de manger des espèces de petites tailles. En effet, comme de nombreux autres poissons, la raie du Tocantins est une espèce opportuniste qui peut devenir prédatrice en certaines occasions. L'éventuel prédation a souvent lieu la nuit, lorsque cette espèce est plus active. Il est recommandé d'être particulièrement vigilant sur la constitution de la population de votre aquarium.

Les espèces de banc doivent être introduites avant l'éventuel prédateur. Cette précaution n'empêchera pas de trouver occasionnellement un cichlidé, même comme un Uaru ou un Heros, décapité et les entrailles mastiquées par une raie opportuniste. La taille d'une gueule de raie adulte ne lui permettra pas d'engamer complètement un poisson non fusiliforme, mais sera largement suffisante pour le tuer.

La raie du Tocantins est une espèce qui vit naturellement dans des zones de fort courant. Ainsi, nous conseillons la mise en place d'une filtration surdimensionnée (10 à 20 fois le volume du bac) afin de garantir un courant important et surtout une forte oxygénation.

Un système venturi améliorera le taux d’oxygène dissous en période estivale. Pour éviter que l'eau ne devienne trop polluée, il est recommandé d'effectuer un renouvellement mensuel de 20% à 30% du volume d'eau.

Attention, l'eau ajoutée doit être à une température voisine de celle de l'aquarium. Une nouvelle fois, cet animal dispose d'un métabolisme puissant, et ingère une quantité incroyable de nourriture, en continu. La qualité d'eau doit être assurée en tous temps, sauf à commencer les problèmes de pourriture des nageoires, d'infection bactérienne ou de "death curl".

Le fond de l'aquarium doit être recouvert de sable (épaisseur minimum : 5 cm). Ce sable permettra aux raies de s'y réfugier, ne laissant dépasser que ses spiracles et ses yeux.

Conseils pour l'alimentation

La raie du Tocantins est un malacophage et planctophage. Elle fait partie des raies "faciles" à nourrir.

Même les individus sauvages se mettront rapidement à une nourriture inerte décongelée, telle que mélange de fruits de mer, crevettes, éperlans, larves, krill. N'hésitez pas à les démarrer avec de la nourriture vivante sous la forme de crevettes Neocaridina de bas grade ou même de reproductions de vivipares.

Une raie en bonne santé est toujours à la recherche de nourriture. Il convient de nourrir peu, mais souvent. Une raie qui cesse de se nourrir est souvent un problème annoncé.

Protocole de reproduction

  • Protection de la ponte
    Non
Les œufs se développent dans le ventre de la mère où ils éclosent. Une fois les alevins complètement formés, ils sont expulsés de leur nourrice. Les raies sont souvent qualifiées de "vivipares" par erreur.

Les œufs se développent dans le ventre de la mère où ils éclosent. Une fois les alevins complètement formés, ils sont expulsés de leur nourrice. Les raies sont souvent qualifiées de "vivipares" par erreur.

La raie du Tocantins est mature dès 40-50 cm de disque, mais sera plus efficiente et sa récupération meilleure dès 60 cm (3 à 4 ans) En captivité, il est impératif de fournir une zone de fuite à la femelle après l'accouplement.

En effet, un mâle, bien que plus petit, peut harasser une femelle, la mordre, la blesser, jusqu'à épuisement et issue fatale pour elle. En aquarium, il est possible de faire reproduire les raies toute l'année, sans stimulation particulière.

Les œufs se développent dans le ventre de la mère où ils éclosent après environ 3 mois. On voit alors les petits bouger sous la peau de la mère, sur l'arrière du corps, sous la forme de deux bosses très proéminentes. Un mois supplémentaire de maturation et les juvéniles sont expulsés de leur nourrice. Ils sont alors complètement formés et indépendants, prêts à survivre et à chasser.

Risques d'hybridation

De manière générale, il est conseillé de ne pas mélanger plusieurs espèces d'un même genre ou différentes variétés d'une même espèce pour éviter les risques d'hybridation.

Ces animaux pourraient vous intéresser

Exemples d'aquariums contenant cette espèce

Partenaire de la Mer

Le programme Mr.Goodfish sensibilise le public à la consommation durable des produits de la mer !

Mr.Goodfish

Le programme Mr.Goodfish sensibilise le public à la consommation durable des produits de la mer !

Apprendre en s'amusant

Pour aller plus loin

Sources & Réalisation

Participation & Validation

L'équipe de Fishipédia et les contributeurs spécialistes s'engagent à apporter un contenu de haute qualité. Cependant, bien que l'information soit issue de sources scientifiques ou de témoignages d'expériences de spécialistes, les fiches peuvent contenir des imprécisions.

Robert Allgayer

Robert Allgayer

Christophe Girardet

Christophe Girardet

Benoit Chartrer

Benoit Chartrer

En collaboration avec : Fédération Française Aquariophilie

Intéragir avec Fishipedia

Pour entrer en contact avec notre équipe ou participer à notre projet.

Modèle de fiche et contenu © Fishipedia - Reproduction non autorisée sans demande préalable - ISSN 2270-7247 - Dernière mise à jour le 12/11/2023

Partenaires scientifiques

Proches congénères

Espèces du même biotope

  • {{name}}

    {{#street_number}}{{street_number}}, {{/street_number}}{{#route}}{{route}}{{/route}}
    {{postal_code}} {{town}}

    {{#phone}}{{phone}}{{/phone}}{{^phone}}-{{/phone}}